1) Ton parcours motard :
Je
suis venu à la moto en roulant avec quelques camarades de lycée qui
roulaient en « 4 pattes honda » (CB 750), CB 125, et CB 350
Honda et qui m’emmenaient comme passager pour assister aux grands
prix moto (Le Castelet, Spa,…)
J’avais alors 16 ans et c’est
avec eux que j’ai appris à conduire (sur route avant de passer le
permis)
J’ai alors passé le « très difficile » permis
A à 17 ans après 1 heure de moto-école pour apprendre à passer
les vitesses du scooter 175 de la moto-école.
En septembre
1971, j’ai alors réussi l’examen (code et conduite le même jour)
avec l’épreuve de conduite consistant à parcourir 300m de part et
d’autre d’un croisement d’où l’inspecteur pouvait nous
contrôler.
Dès lors, je pouvais conduire tout type de moto, y
compris les mythiques CB750 super puissantes de 70cv.
A
l’issue des études, j’ai pu m’acheter ma première moto, une 125 XLS
Honda, et enfin apprendre à conduire en prenant mes premières
expériences sérieuses.
A la suite, j’ai pu conduire V50
Moto-Guzzi, R65 BMW, K75 BMW, 350DR Suzuki, Deauville 650, Pan
European 1100.
En ce qui concerne le kilométrage annuel, il a
varié énormément entre les périodes avec ou sans enfants.
Aujourd’hui je suis en Honda Pan European 1300, oui, je reste fidèle à un V4 souple et agréable à tout régime.
2) Pourquoi es-tu venu à la CASIM ?
Lors
mon départ en retraite, j’ai eu besoin de garder des activités et
surtout des responsabilités en fonction de mes centres d’intérêt.
Le
thème de la sécurité routière et la transmission des compétences
m’ont dirigés vers la CASIM que j’ai connu grâce au président
fondateur de la CASIM 21.
3) Tu es un Bénévole, pourquoi t’investir dans cette asso’ ?
Après
une année comme adhérent, j’ai pris des responsabilités au sein de
la CASIM 21 puis la présidence. Cela
m’a amené à devenir Vice Président CASIM France l’an dernier
et à présent Président CASIM France.
Dans
le même temps, je suis devenu IDSR (Intervenant Départemental
Sécurité Routière) toujours dans la même optique de baisse de la
mortalité des motards en particulier.
J’aimerai
beaucoup
pouvoir facilement toucher les motards débutants, en particulier les
jeunes, ou les motards occasionnel
sur la Côte d’Or qui reste une région où la moto est utilisée en
loisirs et non par nécessité comme nous pouvons trouver dans les
grandes agglomérations.
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